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Le Du Michel

Maître de conférences HDR en Philosophie

IRIST
7 rue de l’Université
67000 Strasbourg
Bureau 104 (1er étage)

Téléphone : 03 68 85 06 03
Courriel : ledu@unistra.fr


Thèmes de recherches

  • Philosophie de la psychologie, la description de la vie mentale.
  • Philosophie des sciences sociales, le mental et le social.
  • Philosophie du langage et de la connaissance : métaphore, analogie entre sens commun et science.
  • Les croyances collectives.
  • Wittgenstein et la tradition post-wittgensteinienne en philosophie (Winch, Hacker, Malcolm etc.)

Activités

  • Co-organisation du colloque international «Wittgenstein and aesthetics », Strasbourg, Janvier 2011.
  • Co-organisation du workshop « Creative thought », Irist, Octobre-Décembre 2012.
  • Participation au colloque consacré aux Recherches Philosophiques, Université Nouvelle de Lisbonne, Mai 2012.

Formations, Diplômes

  • Études à Rennes et à Paris-1 Sorbonne.
  • Agrégation de Philosophie (1987)
  • Doctorat de Philosophie (1999, Université de Rennes-1) : Anthropologie et Psychologie selon Wittgenstein. Jury : Frédéric Nef (Directeur), Didier Deleule, Pascal Engel, Jacques Bouveresse, Jean-Pierre Cometti, Roger Pouivet.
  • Habilitation à diriger des recherches (EHESS, 2007). Jury : Frédéric Nef (garant), Jérôme Dokic, Pierre Livet, Denis Kambouchner, Cyrille Michon, Alban Bouvier.

Publications récentes

Articles

(1) « Anthropologie et relations internes » dans Raisons Pratiques, « Le mental et le social » (dirigé par Christiane Chauviré et Bruno Ambroise), 2013, p. 275-310.

(2) « Le soin comme notion épistémologique et éducative », Transverse, “De quoi s’agit-il de prendre soin ?” 2013, p. 47-61.

(3) « Peter Winch on Norms and Conventions », Philosophical Investigations, Juillet-Octobre 2012, p. 303-316.

In one of his finest papers, Peter Winch establishes a distinction between norms and conventions and suggests that the latter is unable to account for many human institutions and practices. He argues that an empirical alternative must be conceivable in order for a norm to be considered as a convention and adds that many of the most central norms in different meaningful ways of life do not fulfill this condition. The aim of this article is to examine some of the consequences of this distinction for anthropological thought.

(4) « Les sciences de l’esprit sont-elles narratives ? », Revue d’Histoire et de Philosophie Religieuses, tome 92, n° 2, 2012, p. 83-96.

Le but de ce texte est à la fois de cerner la spécificité des sciences de l’esprit et de réfléchir à la place qu’occupe en leur sein la compréhension historique. Beaucoup d’auteurs s’accordent sur le fait qu’expliquer, dans bien des cas, revient à « raconter une histoire », mais on ne prête souvent pas assez attention au fait qu’au sein de cette locution le terme « histoire » revêt un sens relativement indéterminé, qui n’a pas toujours de lien substantiel avec l’histoire en tant que discipline. D’un autre côté, il semble difficile d’identifier entièrement le sens historique des Geisteswissenschaften à la forme narrative que leur discours prend parfois. La conclusion de l’article est qu’il convient de mettre en lumière une relation plus fondamentale entre sciences de l’homme et historicité, laquelle tient à une propriété du temps auquel elles s’adressent, qui n’est pas le temps naturel.

The aim of this paper is to circumscribe the specificity of moral sciences and to figure out the role played among them by historical understanding. Many people agree that giving an explanation very often boils down to “telling a story”, but one doesn’t always pay enough attention to the fact that in this phrase, the word story is taken in a rather broad sense and, accordingly, doesn’t always keep direct connection with history as a subject matter. On the other hand, it seems impossible to identify the historical scope of moral sciences with the narrative form they sometimes adopt. The conclusion of the article is that we need to shed light on a more radical relation between Geisteswisssenschaften and historicity. This relation can be explained by a distinctive property of the time they address, which is not natural time.

(5) « Entre norme de rationalité et relativisme », Revue des Sciences Sociales, n° 46, 2011, p. 36-42.

(6) « L’animal cérémoniel : entre religion et politique », ThéoRème, 2011, Wittgenstein et la religion [article accessible en ligne].

Les propos de Wittgenstein portant sur la magie et les croyances religieuses ont souvent été perçus à la fois comme suggestifs et comme insatisfaisants. Il est vrai qu’ils se présentent sous la forme de remarques dont les liens réciproques ne sautent pas toujours aux yeux. C’est seulement en les mettant en rapport avec, notamment, ses conceptions en philosophie de la psychologie que l’on peut espérer acquérir de celles-ci une vue synoptique. Le but du présent article est de tendre vers une telle vue et de proposer, plus généralement, une évaluation de la manière dont Wittgenstein aborde les enjeux anthropologiques.

(7) « Méthode compositive et ordre social »,   Archives de Philosophie, 74-3, 2011, p. 509-523.

L’objectif de l’article est de montrer que la distinction couramment établie, en philosophie des sciences sociales, entre une approche « externe », « objective » et une approche « compréhensive », réputée d’essence psychologique est fausse et altère, par ailleurs, la perception que nous pouvons avoir de la différence entre ces sciences et les sciences de la nature. Le texte recense également les arguments en faveur d’une méthode individualiste et compositive et suggère que l’opposition rituelle entre individualisme et holisme ne se situe peut-être pas sur le terrain où l’on a coutume de la situer. [traduction espagnole à paraître en 2013]

The aim of the article is to show that the distinction commonly established in the philosophy of social science between an « external » and « objective » perspective on the one hand, and a « comprehensive » perspective, allegedly psychological by nature, on the other hand is ill advised and blurs our perception of the difference between social and natural sciences. The paper also examines the arguments in favour of an individualist and compositive method and suggests that the location of the familiar opposition between individualism and holism might be different from where it is commonly thought to be.

(8) « Que nous apprennent les troubles de l’action ? » dans Cahiers philosophiques de Strasbourg n° 28, « Philosophie et sciences », 2010, p. 127-144.

(9) « Qu’est-ce qu’une thérapie philosophique ? » dans Revue Philosophique de Louvain, 108, 2010-3, p. 93-112.

Le but de l’article est de discuter l’idée répandue selon laquelle la conception thérapeutique de la philosophie mise en circulation par Wittgenstein conduirait à une forme d’abstinence touchant les interrogations centrales de la théorie de la connaissance et rendrait caduc tout effort pour produire des thèses en philosophie. Il cherche à montrer que la thérapie vise essentiellement à destituer la forme « métaphysique » prise par certaines interrogations, ce qui n’équivaut pas à une élimination complète des questions concernées elles-mêmes. En apprenant à accepter une formulation triviale des questions en cause et le caractère également trivial de certaines réponses, nous nous libérons de l’emprise d’interrogations faussement incontournables et affinons, bénéfice secondaire, notre sens du réel.

The aim of the paper is to discuss the widespread idea that the therapeutic conception of philosophy circulated by Wittgenstein would lead to a kind of abstinence in regard to the central inquiries raised by the theory of knowledge and would render void all effort at producing theses in philosophy. It seeks to show that therapy essentially seeks to dismiss the “metaphysical” form taken on by certain enquiries, which is not equivalent to complete elimination of the questions concerned themselves. By learning to accept a trivial formulation of the questions under scrutiny and the similarly trivial character of certain answers, we free ourselves from the grip of inquiries that wrongly cannot be got around and, as a secondary benefit, refine our sense of the real.

(10) «Wittgenstein e o uso do linguagem como càlculo», Dois Pontos, Sao Carlos-Curitiba, Brésil, 2009, p. 167-179.

(11) « Le potentiel, enjeux et logique d’un concept » dans Le Télémaque, n° 36, 2009, p. 85-100.

A l’heure où chaque individu est invité à réaliser pleinement son « potentiel », le texte propose une analyse critique de cette notion, en la comparant ou en l’opposant à celles de compétence, de capacité, de tendance ou de puissance. S’appuyant sur le travail d’Israel Scheffler, il relève trois mythes à propos du « potentiel » : sa fixité vs sa variabilité, l’harmonie entre les différents potentiels d’un même individu vs leur concurrence ou leur incompatibilité, la valeur intrinsèque de chacun vs l’éventualité que certains puissent être dangereux. D’où, sur le plan éducatif, cette illusion que chaque individu posséderait un potentiel infini de développement et de connaissance que l’éducateur n’aurait qu’à éveiller, ou le sujet à reconnaître et à déployer. Par ailleurs, si le développement d’une capacité s’appuie bien sur des normes ou des règles, celles qui permettent de définir la façon de développer telle ou telle capacité sont d’une autre nature et relèvent d’une théorie pratique.

(12) « Le concept de personne éduquée, un holisme éducatif » dans Education et Didactique, 2009, p. 121-129.

Le but de l’article est d’exposer les différentes raisons qui interdisent d’identifier le fait d’être savant et celui d’être éduqué. Il montre que l’éducation, outre qu’elle porte également sur des inclinations, implique, entre autre choses, le développement d’une perspective cognitive distincte des savoirs et capacités spécialisées et conclut qu’une telle perspective, si elle peut être apprise ou découverte par le sujet, ne peut, stricto sensu, être enseignée.

(13) « Comprendre les mathématiques, Kant, Poincaré, Wittgenstein », Cahiers philosophiques de Strasbourg n° 26, 2009, p. 201-218.

(14) « Savoir tacite et action » dans Philosophie n° 100 (2008), p. 60-76. 

L’article tente d’évaluer l’importance d’un certain héritage wittgensteinien (en matière de thèmes, de problèmes et de méthodes) dans la philosophie récente des sciences sociales, et défend la thèse selon laquelle un tel héritage se manifeste de la manière la plus obvie lorsqu’il est question du concept de compréhension. L’article part de la thèse, commune à plusieurs sociologues, selon laquelle les structures règlent notre action en même temps qu’elles sont produites par celles-ci, pour en examiner la validité. Défendant un séparatisme méthodologique entre sciences sociale et sciences de la nature, il dégage et oppose l’usage qu’elles font respectivement de la notion de règle implicite.

Chapitres d’ouvrages

(1) « La compréhension du langage, de l’instinct à l’interprétation », dans Les langues philosophes, dirigé par Patrick Wotling et Céline Denat, coll. « Langage et Pensée », Presses Universitaire de Reims, 2012, p. 173-193.

(2) «  Quelle portée épistémique accorder à l’opposition entre disciplines ‘littéraires’ et disciplines ‘scientifiques’ ? », dans Les disciplines de pensée, sous la direction d’Hubert Vincent, Jean-François Goubet et Alain Firode, Artois Presses Université, 2013, p. 19-31.

(3) « Über Gewissheit : a Texbook for Psychologists ? », dans Doubtful Certainties, dirigé par Jesus Padilla Galvez et Margit Gaffal, Frankfurt, Ontos Verlag, 2012, p. 75-89.

(4) « Seeing as and semantic expansion», dans Wittgenstein and Aesthetics, Perspectives and Debates, Frankfurt, Ontos Verlag, 2012, p. 81-95.

(5) « Wittgenstein, les sciences sociales et le mental », dans Lectures de Wittgenstein, dirigé par Christiane Chauviré et Sabine Plaud, Paris, Ellipses, 2012, p. 155-170.

(6) « Règles et capacités : contribution à une grammaire des objets éducatifs » dans Normes et normativité en éducation, entre tradition et rupture, sous la direction d’Odile Schneider-Mizony et Maurice Sachot, Paris, L’Harmattan, 2011, p. 155-164.

(7) « Wittgenstein and Hayek on rules and lines of conduct » dans Forms of Life and Language games, dirigé par Jesus Padilla Galvez et Margit Gaffal, Frankfurt, Ontos Verlag, 2011, p. 175-186.

(8) « Percepçao de aspectos e percepçao conceitual. Wittgenstein sobre a visao et o entendimento » dans Fenomenologia como Gramática, Editora Universidade de Brasilia, 2011, p. 181-2011.

(9) « Sommes-nous sensibles aux règles ? », dans Appartenances, Partir, Partager, Demeurer, dirigé par Gilbert Vincent et Juan Mattas, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 2011, p. 185-197.

(10) « Les sciences cognitives peuvent-elles éclairer la politique ? Le pari de George Lakoff », dans Médias et Démocratie, sous la direction de Frédéric Rognon, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, coll. Chemins d’Ethique, 2010, p. 97-110.

(11) « Kraus contre la corruption de la pensée » dans Médias et Démocratie, sous la direction de Frédéric Rognon, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, coll. Chemins d’Ethique, 2010, p. 71-80.

(12) « Tacit knowledge and action », dans Wittgenstein: Issues and Debates, sous la direction de Jesus Padilla Galvez et Eric Lemaire, Frankfurt, Ontos Verlag, 2010, p. 7-30.

(13) « La compréhension, un défi à la normativité » dans La partition des cultures, sous la direction de Gilbert Vincent, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 2008, p. 177-192 (épuisé).

(14) « Aspect perception and conceptual perception » dans Phenomenology and grammar, dirigé par Jesus Padilla Galvez, Frankfurt, Ontos Verlag, 2008, p. 125-139.

Directions d'ouvrages

(1)Wittgenstein and Aesthetics, Perspectives and Debates, Frankfurt, Ontos Verlag, 2012, 216 p. (co-direction avec Alessandro Arbo et Sabine Plaud).

Wittgenstein has written a great number of remarks relevant to aesthetical issues: he has questioned the relation between aesthetics and psychology as well as the status of our norms of judgment, he has drown philosophers’ attention to such topic as aspect-seeing and aspect-dawning, and has brought insights into the nature of our aesthetic reactions. The examination of this wide range of topics is far from being completed, and the purpose of this book is to contribute to such completion. It gathers both papers discussing some of Wittgenstein’s most provocative and intriguing statements on aesthetics, and papers bringing out their implication for art critic and art history, as well as their significance to epistemology and to the study of human mind.

Contributors: Alessandro Arbo, Chiara Cappelletto, Sandrine Darsel, Leonardo DiStasio, Jérôme Dokic, Maurizio Ferraris, Michel Le Du, M. A. Lescourret, Jerrold Levinson, Jesus Padilla Galvez, Sabine Plaud, Antonia Soulez, Julia Tanney, Joao Vergilio Gallerani Cuter.

(2) Co-direction avec Catherine Allamel-Raffin et Jean-Luc Gangloff des Cahiers Philosophique de Strasbourg n° 28, « Philosophie et sciences », 2010, 250 pages.

Les textes qui constituent le présent volume proviennent des communications présentées à l’Université de Strasbourg dans le cadre de deux journées communes à l’Institut de Recherches sur l’Histoire des Sciences et des Techniques (EA 3424) et à l’équipe d’accueil de Philosophie (EA 2326). Ces journées se sont tenues le 29 Mai 2009 et le 11 Juin 2011. Le but était de permettre à des chercheurs conviés par l’une et l’autre de ces institutions d’exposer leurs travaux en cours et d’échanger sur le thème Philosophie et Sciences. En abordant tout un spectre de sujets intéressant l’histoire des sciences et la philosophie de la connaissance, cet ensemble de contributions ouvre également sur un faisceau d’enjeux relatifs à la philosophie de l’esprit. 

(3) Co-direction, avec Frédéric de Buzon des Cahiers philosophiques de Strasbourg n° 26, « Kant et les mathématiques », 2009, 300 pages.

Les textes réunis dans le présent volume proviennent des communications présentées à l’Université de Strasbourg dans le cadre du colloque « Kant et les Mathématiques » qui s’est tenu à Strasbourg du 25 au 27 Janvier 2007. Ils ont en commun d’interroger la postérité contrastée de la philosophie kantienne des mathématiques, soit par l’étude de points controversés de ses écrits, soit par la confrontation de ces derniers à ceux de certains de ses grands prédécesseurs (Leibniz, Euler), soit enfin par l’évaluation de la reprise et / ou de la critique dont certains de ses thèmes ont fait l’objet aussi bien au sein du courant logiciste (Couturat) que dans la philosophie contemporaine (Hintikka). S’efforçant de combiner enjeux actuels et analyse historique attentive, l’ouvrage s’attelle non seulement à la lecture du maître de Koenigsberg, mais également à la tâche de le situer par rapport à une perspective plus générale qui est celle des enjeux de philosophie des mathématiques toujours inscrits à l’agenda philosophique.

Traduction d’ouvrages

(1)Wittgenstein, un point de vue religieux ?, par Norman Malcolm et Peter Winch, à paraître aux éditions de l’Eclat en 2014.

(2) Les conditions de la connaissance d’Israel Scheffler, Paris, Vrin, 2011, 190 p. (traduction + un essai introductif  « Raison, éducation et rituel : la philosophie d’Israel Scheffler » p. 7-42).

(3) L’idée d’une science sociale et ses relations avec la philosophie de Peter Winch, Paris, Gallimard, Bibliothèque de Philosophie, 2009, 236 p. (traduction + présentation p. 7-30).

Enseignements

  • Enseignement dans le cadre de la Faculté de Philosophie de l’Université de Strasbourg, à tous les niveaux du cursus (Licence, Master, Préparation des concours). Principaux thèmes de cours : philosophie de la psychologie, le mental et le social, philosophie contemporaine des sciences, philosophie contemporaine du langage.
  • Enseignement dans le cadre du Master IRIST. Thème du cours : Philosophie des sciences sociales.

Responsabilités

(1) Membre du jury de l’agrégation externe de philosophie (2001-2004) et du jury de l’agrégation interne (2002-2003). Membre du jury de l’agrégation externe 2012, 2013.

(2) Expert dans le cadre des évaluations AERES (vague D, deux visites en 2012).

(3) Membre du jury du Capes de Philosophie (2008-2010).

(4) Membre de la commission Philosophie, Psychanalyse, Sciences Religieuses du Centre National du Livre présidée par Philippe Raynaud (2005-2008).

(5) Membre du Groupe d’Experts sur les Programmes Scolaires de Philosophie, présidé par Michel Fichant, de 2001 à 2003.

(6) Responsable de publication des Cahiers Philosophiques de Strasbourg, Décembre 2006-Mars 2011.

(7) Membre du bureau éditorial de la revue Dokos, Revista Filosofica.

(8) Directeur de l’EA 2326 (Janvier 2009-Mars 2011).

(9) Rédacteur d’un cours pour la préparation à l’agrégation interne La vérité, CNED, septembre 2009.

(10) Membre du bureau éditorial de la collection Aporia (Frankfurt, Ontos Verlag).

(11) Referee pour Philosophia Scientiae, Revue Française de Pédagogie, Education & Didactique, Canadian Journal of Philosophy, Igitur.

(12) Membre de la British Wittgenstein Society.

(13) Membre du CNU (suppléant, 72ème section).